LES FEMMES : PARMI LES PREMIÈRES VICTIMES DE LA CRISE DU LOGEMENT

Le marché privé du logement n’est pas simplement un échec pour les femmes, il est bel et bien son exploiteur. Des loyers trop élevés pour des logements insalubres et trop petits, c’est bel et bien une source extrêmement fiable de profits que s’accaparent un petit groupe de compagnies et d’individus: les Timbercreek, les Sergakis, les Akelius de ce monde.

UN MANDAT DE GRÈVE QUI ARRIVE À POINT NOMMÉ

Cette grève n’est pas seulement motivée par la stagnation des négociations avec le gouvernement. Elle est également motivée par des difficultés liées à la COVID19, par les mesures inadéquates et insuffisantes, par le manque d’appui dont sont victimes nos enseignant-es et travailleur-euses de la santé.